Après avoir été désigné lauréat du concours national 2020-21, Adrian, étudiant à l’Ecolint – Campus de la Châtaigneraie, s’est hissé à la deuxième place du concours international Jeunes Reporters pour l’Environnement. Une reconnaissance de la qualité de son enquête et l’occasion pour J’aime ma Planète de recueillir son témoignage à propos de cette aventure journalistique.


Sur quelle thématique de développement durable as-tu enquêté ?

J’ai choisi de rédiger un article de presse sur la pollution lumineuse, car je suis très intéressé par ce sujet.

Pourquoi as-tu choisi d’enquêter sur ce sujet ?

C’est une question locale, très pertinente, car de plus en plus de cantons et de communes sont confrontés à ce problème. La première fois que j’ai entendu parlé de pollution lumineuse, c’était à travers un magazine de photographie que j’ai lu. Il parlait de la façon dont les images du ciel nocturne, des étoiles, pouvaient être affectées par cette pollution. Pour mon enquête, j’ai lu d’autres articles à ce sujet et j’ai utilisé différentes sources.

Qui as-tu interviewé dans le cadre de ton enquête ?

Je n’ai interviewé personne, et je n’ai pas fait d’enquête de terrain en particulier (ndlr. en raison du Covid). J’ai plutôt fait des recherches axées sur les solutions. Mais je suppose que j’aurais donné plus de crédibilité à mon article et peut-être attiré plus d’attention si j’avais pu réaliser une interview. Je pense que donner envie au lecteur de lire un article de presse sur un sujet qui ne le passionne pas autant que vous, et de lui apporter des connaissances qui sont parfois un peu difficiles à comprendre, est la partie la plus difficile lors de la rédaction de l’article de presse.

Témoignage jeunes reporters pour l'environnement